ça y est ! j'ai pu enfin toucher (de la souris) le NX2 promis...

j'ai téléchargé la clé chez papa Nikon (108 zeuros et des poussières quand même !) avec mon ouaibe-compiouteur et rentré cette dernière sur mon pictioure-compiouteur en serrant toutefois un peu les miches, de peur que NX2 me demande encore une fois de me connecter (pour ceux qui ont en mémoire ma petite mésaventure...).
mais tout va bien: cette fois aucune connexion au Web n'est demandée et NX2 démarre du feu de Dieu, même après désinstallation de NX.
et là, après avoir un peu musardé dans NX2, j'ai trouvé rien que du bon. presque tous les griefs que j'avais formulés à l'encontre de NX ont tété corrigés, dont:
- les palettes d'outils n'apparaissent plus au milieu de l'image, mais bien rangées dans la liste des modifications: trèèès bien ! l'image n'est plus polluée par ces foutues fenêtres. et pour ceux qui préfèrent, il est possible de les poser où on veut.
- les options des outils apparaissent maintenant en haut dans un bandeau horizontal (par ex les réglages du pinceau: avant c'était un foutoir invraisemblable !)
- on peut ENFIN reprendre une étape sans décocher toutes celles qui suivent ! OUF !!
au rang des nouveautés ergonomiques:
- la partie développement est plus claire, avec ses trois chapitres différents bien mis en évidence.
- on peut supprimer une étape d'un seul clic, contre clic droit + descente dans menu contextuel + clic gauche avant.
- des zolis petits filets jaunes viennent orner agréablement l'interface: c'est pas grand chose mais c'est moins austère, plus sexy.
ce qui m'ennuie encore:
- l'affichage des NEF dans le navigateur, bien que légèrement plus rapide, est encore très lent... comprends pas pourquoi: dans ViewNX ça va fin bien...
toujours au chapitre des nouveautés, j'ai pu jouer avec le "Point de contrôle de la sélection": de la balle ! ça permet d'apporter une correction avec tous les outils des menus "réglages" et "filtres" (c-a-d beaucoup) sur une partie seulement de l'image. ça remplace un peu le pinceau (en agissant sur la base de la couleur) tout en étant plus rapide à mettre en œuvre. pour les corrections "géographiques" (une zone non définie par sa teinte, en somme) le pinceau reste nécessaire.
j'ai pas encore fait le tour complet du proprio, mais je trouve que cet incomparable outil évolue dans le bon sens. il accroît un peu sa puissance et peaufine son ergonomie: elle devient plaisante et ne présente plus de défaut majeur.
si je trouve encore des trucs sympas, je ne manquerai pas de venir le signaler ici.
