Des petites fleurs, j'en ai fait et en ferais sans doute encore. J'y prends du plaisir.
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La grande question, pour moi en tous cas, est de savoir pour qui je fait des images et non pas pourquoi...
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Jaco,
C'est peut-être la seule question ...
Mais pour apporter ma pierre (petite) à l"édifice de la photo, de l'émotion qu'elle procure, je parlerai de celle que je pratique le plus souvent; la chasse photographique.
Ici, le sujet est roi, c'est lui qui décide d'être présent ou non (dans ce cas pas d'image), le photographe est confronté à sa technique (d'approche, d'affût, de camouflage, de prise de vue, ...), a son éthique (appât, ou non, espèce en danger ou non, équilibre entre le risque de dérangement et le besoin de "voir"), ses moyens techniques (pas la même chose d'avoir un 300mm ou un 600mmm dans les mains), photographier un renard en france ne représente pas la même difficulté que de photographier des zébres en afrique du sud, pas les mêmes moyens financiers non plus, ni le même temps à y consacrer.
Comme vous pouvez l'imaginer ce n'est pas forcément avec le boîtier dernier cri et le plus long télé que l'on obtient la meilleure image, encore une fois il y a les moyens, et le photographe, l'un ne va pas sans l'autre, mais les moyens seuls ne sufissent pas.
L'intention est primordiale, tout le monde peut faire une photo d'une mouette sur un poteau au port (voire dans Paris), mais la lumière, la mise en scène de l'image fera la différence, la touche en plus sera d'avoir cette même mouette en train de se poser ou de décoller sur ce même poteau.
Alors, encore une fois l'émotion qui se dégagera de l'image ainsi proposée fear la différence, audelà de la technique, au delà de l'événement capturé, l'émotion l'emportera toujours.