C'est un peu plus comliqué que ça…
Pour une même valeur de cercle de confusion, la profondeur de champ est la même pour un grandissement identique (dit autrement, pour une même image finale, la profondeur de champ est la même avec un grand angle ou un téléobjectif à grandissement et diaphragme identique) (application rigoureuse des formules optiques, les formules courantes ne sont pas rigoureuses…).
Les limites de l'optique (aberrations, diffraction, flare), la dynamique des capteurs, les conditions de production et d'examen des images (dynamique du périphérique de sortie, diffusion de l'encre, flare (encore)…), codage de l'image (en particulier codage Jpeg quand il y a) ont un impact sur la profondeur de champ et font que plus le capteur est petit, plus la profondeur de champ est importante.
On retrouve dans les images de Fernand et dans les propos de Greg ce qui était dit dans un des derniers numéro du Photographe au sujet de la profondeur de champ en numérique (je ne sais plus qui était l'auteur de l'article, mais il se référait au travail de fin d'études d'un étudiant de Louis Lumière).
Depuis cet article, la définition des capteurs a augmenté plus vite que leur taille et les limites de l'optique n'ont pas été profondément modifiées (la lumière visible a toujours une longeur d'onde comprise entre 400 et 700 nm…)
A+
Laurent Galmiche