Bonjour à tous .
Passer quelquefois en mode manuel, pourquoi pas ?
Avec nos boitiers, lorsque l'on appuie à mi-course sur le déclencheur,
l'électronique a déjà tout programmé selon la mesure de l'intensité :
- la vitesse de l'obturateur
- l'ouverture du diaphragme
- la sensibilité iso ?
- ET la mise au point qui est réalisée ( qu'on pourrait aussi passer en mode manuel )
Parfois, pour des raisons diverses dont la liste serait intéressante, cela peut donner des résultats différents de ceux attendus.
Mais nos boitiers ont tout prévu ou presque : une intervention sur une touche programmée, ou une option du menu permettra de pallier au problème.
Bientôt tous les cas recensés de différents problèmes de l'automatisme auront leur remèdes programmable ou programmés
Mais j'espère que le mode manuel existera toujours.
On peut le préférer pour des prises de vue comme celles montrées en exemple,
mais on peut aussi éprouver de l'intérêt, du plaisir, l'envie de tester, ou d'aller plus loin.
Désolé pour ce petit retour en argentique :
Un boitier "moderne" qui utiliserait une pile pour la cellule mais on pourrait même s'en passer,
on achète une pellicule d'une sensibilité en rapport avec le site.
Sur la notice on trouve un petit tableau où sont précisés les réglages les plus courants dans des scènes types.
Sport ( Vitesse 1/250 à 1/2000 Ouverture 4 à 5.6 )
Portrait ( Vitesse 1/125 à 1/1000 Ouverture 1.4 à 2 ) ..
C'est très résumé, et peut être faux pour certaines valeurs, mais ce principe est repris....par l'automatisme avec les modes scènes par exemple sur la molette.
Bref, on règle soi même la vitesse et l'ouverture selon la scène et la luminosité.
Le mot "réglage" cité plus haut, était peut-être employé en référence à un tableau de ce type, qui permet de guider l'utilisateur pour certains réglages manuels préconisés.
Comme la mise au point, mais c'est une autre histoire.
A+