Bonjour.
Dans ce cas, vous avez le choix entre l'usage d'un scanner (à plat ou de film) et la reproduction à l'aide d'un apn et d'un objectif macro (plus qu'utile pour la planéité de champ).
Le négatif se numérise comme une diapositive, seul le fait qu'il se présente en bande peut amener des manipulations supplémentaires.
Dans ce cas, les caches du scanner présentent un avantage évident.
Il y a longtemps, j'ai utilisé un scanner à plat Epson lié à Epson Scan et j'ai pu sortir des A3 acceptables après pas mal de post-traitement.
Désormais, j'utilise la repro avec un D800e équipé du AF60 macro et en guise de "boîte à lumière", une tablette LED Dörr LT-2020 avec un IRC convenable et une TC mesurée au thermocolorimètre (que je possède déjà mais vu son prix ce n'est pas indispensable !).
N'ayant pas de banc de repro, il m'a fallu bricoler un peu ! Pour ce faire, j'ai donc réutilisé le bras horizontal de mon vieux pied Gitzo sur lequel j'ai monté un rail de mise au point. Une petite télécommande filaire à trois sous est aussi utile. Le parallélisme est réalisé avec des niveaux.
Pour le temps de numérisation je dirai que c'est peu ou prou la même chose. Je n'ai pas de scanner de film donc j'utilisais comme dit plus haut un scanner à plat. Le temps de scannérisation est long, je ne l'ai plus en tête mais à 2400 dpi c'est vraiment long ! Et si en plus on fait du multi passe !!!
Pour la repro, le plus long est l'installation et le réglage de la tablette (luminosité et TC). Pour le reste, les prises de vue s'enchaînent. Globalement ça me paraît quand même plus rapide et les résultats sont vraiment meilleurs.
