Cela permet d'avoir moins de bruit dans les hautes sensibilités.
C'est le principe d'une courbe de transfert non linéaire.
on perd un peu de dynamique à la sensibilité de base, autour de ISO 400 ou 640, mais on la récupère ensuite tout en contenant le bruit de lecture.
Je serais incapable d'en dire plus.
Ce qu'il faut retenir, c'est que soit tu restes à la sensibilité nominale du capteur (64 ou 100 ISO généralement) et tu as la dynamique maxi, soit tu passes carrément à 800 et plus avec très peu de bruit jusqu'à 12800 voire 25600 ISO.
Sur le papier, les analyses du signal notent une chute de dynamique entre 400 et 640 ISO, mais sur le terrain, je pense qu'absolument personne n'en pâtira, car il y a tellement d'autres paramètres qui entrent en ligne de compte dans la vraie vie que cette différence de laboratoire n'a aucun impact sur le terrain, en-dehors d'usages très spéciaux pour les chercheurs du CNRS.