Coucou !
Je cite Didier Ropers :
« Pour moi, le débat argentique-numérique est très proche en ce sens qu'il réveille les mêmes réticences et les mêmes a-priori. Ou tout du moins les mêmes raccourcis de langage qui peuvent être parfois réducteurs. »Tout a fait d'accord (également en ce qui concerne le solfège…).
Pour ma part, lorsque je suis passé au numérique après des décennies d'argentique (tac-toc), j'ai eu l'impression de ne plus savoir faire une photo : ma façon de voir la lumière et de savoir comment le film allait "me" la rendre avec telle ou telle optique, était complètement bouleversée. Tant il est vrai qu'un capteur ne réagit pas comme un sel d'argent, et ne restitue pas l'image de la même façon qu'un inversible, par exemple.
Je me sentais complètement idiot, et c'est très frustrant. Bon, ça n'a pas trop duré, rassurez-vous : il suffit de faire des essais, des erreurs et de les comprendre pour obtenir un bon résultat.
« Comprendre ses erreurs » : en cela, une bonne pratique de l'image peut sans doute servir. Je dis bien "servir à comprendre". Pas "servir à réussir d'emblée".
Donc, en fait comme le dit si bien Jugoslav, la question est mal formulée (ou bête, ce que je ne crois pas). Car il n'y a strictement aucune obligation à rien du tout. On trouve encore de tout sur le marché, on a l'embarras du choix (d'où toutes ces questions évasives), ce qui est un avantage pour le connaisseur, mais peut troubler le néophyte et ça, c'est légitime.
Ainsi, moi, si vous me demandez de choisir un PC, il y en a tellement que je serais bien embarrassé, étant un nullard imbécile en informatique. J'ai un iMac G4, parce que j'ai commencer à taper sur le clavier d'un Mac en 1986 chez mon futur éditeur, c'est tout. S'il avait été équipé de PC, j'aurais un PC…
N'empêche que se vanter de perdre 150 000 photos par an, faut vraiment être inconscient ou ultra-gonflé !

Et le p'tit vélo continue de tourner en rond… Comme les chevaux dans un manège, et… roulez jeunesse !

Amicalement
