En effet, quand je m'apprête à déclencher, tous les paramètres de mon boitier sont à des lieux à la ronde de mon objectif principal qui est: le bon cadrage au bon moment. Rien d'autre ne compte plus dans ma tête à ce moment là. La séance de règlage ouverture vitesse est déjà loin, je suis engagé à ce moment sur un point de non retour, plus aucune frontière entre mon sujet et moi et surtout pas les démons du type: m'as-tu vu avec mon beau boitier... à quoi servira t -il si on a pas compris que tout beau, perfectionné et mieux qu'untel ou l'autre, il ne sera jamais que l'instrument qui sert à figer un éclat de temps, de couleurs et d'émotions.
(je vais pas me faire des potes chez les rois du marketing outrancier)...