Très intéressant de faire les prises de vues de nuit en appliquant les méthodes de mascage du tirage NB ! cela demande , comme au labo, un peu de maîtrise et pas mal d'essais ( souvent infructueux) mais un petit "bitogno" fait d'une pastille de carton noir au bour d'un fil de fer, permet durant les poses longues (sur pieds bien sur ) de faire des "retenus" des hautes lumières, afin de laisser les basses lumières se déboucher tranquillement ... Cette méthode ampirique permet: d'utiliser des films lent ou moyen, mais d'ignorer les 1600 et 3200 iso. De ce fait, ni grain en argentique, ni bruit en numérique.
Dans l'esprit "reportage", la donne est inversée, car il faut agir spontanément et rapidement.
Cela oblige aux sensibilité élevées, aux optiques lumineuses, et à faire le choix crutial qui est ... hautes lumières "cramées" ou basses lumières "bouchées" ???
Personnellement, j'ai depuis toujours considérer que, naturellement, l'oeil permet de s'habituer à la faible lumière, et finir par "voir" les détails des ombres, alors que les hautes lumières "éblouissent" en permanence ...
donc, je crame volontairement les hautes lumières, et quoi de plus sympa et naturel qu'un halo autour d'un point lumineux ...
Question mesures, j'utilise une cellule à main avec un spot, je fais plusieurs mesures sur des éclairements différents, ce qui me guide dans le résultat final.
Autrement, la mesure spot permet un peu le même genre de travail. La mesure multizones est parfois vraiment très bonne, mais une sous exposition de l'ordre d'1,5 diaph est parfois nécéssaire si l centre de l'image est lumineux et les bords sombres . Cela demande soit des test de votre matériel, soit un encadrement de prises vues avec des corrections d' expositions.