Bon on fait quoi ? on sort plus ? on met les appareil en vitrine ? ou on assure les appareils ? finalement on peut se protéger pas mal dans nos sociétés. Puis, sinon on prend des risques c'est la vie... et pour faire de la photo autre que de photographier des bouquets de fleurs ou des pattes de mouches velues en macro, il faut bien affronter la vie... tous les photographes pros qu'on admire prennent des risques... au Brésil demandez à Salgado... comme c'était pas assez risqué il est allé au Rwanda avec Natchtwey et Peress, un brésilien un américain un français... le danger en plus c'était aussi qu'ils'ont fait parler de ce génocide, ce qui génait bien les gouvernements, français, belges.... et même amèricain... En ce moment il est plus difficle d'aller en Tunisie pour faire des photos que d'y aller se planquer dans un hotel pour s'y bronzer le cul comme font la plupart des européens trouillards... on fait de la photo où on en fait pas. Je me suis fait piquer arracher des appareils dans pas mal de pays et en france. Les assurances m'ont remboursé certes pas tout, mais j'ai pu continuer. Au Brésil y a pas d'assurance pour beaucoup de bouffer... ceci explique cela, si on ne veut pas affronter ces réalités on reste chez soit avec son alarme intrusion, ses camèras de surveillance, bien plus chères que le Nikon qu'on pourraît se faire piquer...
les humanitaires et les photographes prennent des risques, ils le savent, s'ils s'arrétent à un vol d'appareil photo il faut qu'ils restent à la maison.
bpn c'était un avis qui n'a rien à voir avec le fil, désolé Tenrou... mais la sécurité à toutes les sauces ça gonfle et ça freine la liberté, c'est une vieille statégie politique... la peur.