La quantité d'informations à traiter n'a jamais été un gage de qualité.
Exemple : je mesure sur 50 000 zones et j'en fais la moyenne. Suis-je plus pertinent que si je mesure 5 zones comme le FA (j'y reviens, Jeremy... forcément !) et que je classifie le tout dans un tableau à 25 cases ? Non, bien sûr. J'ai accès à des milliards d'infos sur internet... suis-je mieux informé aujourd'hui ? Non plus.
Donc, tout dépend de comment sont exploitées les mesures. Depuis 10 ans (1005 pixels du F5), on a forcément affiné l'exploitation des données chez Nikon (on est d'ailleurs passé en version II pour cette matricielle couleur)... et que 420, ça suffit bien largement quand c'est bien utilisé. Peut-être bien que les 1005 pixels... c'est au contraire du marketing pour vendre du D200 ou du D2X !
Sans compter que, peut-être, on en fait bien rigoler certains dans leurs bureaux d'études. En effet, dans la fameuse mesure matricielle 3D (version I, celle des D70 et D70s) à 1005 pixels, les données sont regroupées en 330 zones, elles-même regroupées en 9 "super grandes zones". Allez savoir si, avec la mesure 3D (version II, utilisée sur le D50 et le D80) à 420 zones, on a pas, au final, plus d'informations !