La compression, même sans perte, exige du calcul. Elle implique une opération logicielle (dans le processeur de l’appareil) pour réorganiser les données à l’enregistrement, et une opération inverse lors de l’ouverture du fichier RAW dans un logiciel. Même si cette compression ne dégrade pas les données, elle prend du temps, de l’énergie, et occupe des ressources.
C’est donc une question de performance.
De plus, tous les logiciels ne savent pas décompresser les données tel que les constructeurs les compressent. D’où l’intérêt de garder les deux modes.