Que dire, toute vente est basée sur une relation de confiance. Chacun agit par rapport à ses convictions, son instint etc...
Ici nous sommes dans une discussion ouverte, où il est précisé les bases. Inutile de dire que la grande majorité de transaction se passe bien mais la situation n'est pas la m^me entre particulier/particulier et particulier/professionnel.
Dans l'abslolu, si le chéque est sans prov, il n' ya pas grand chose à faire pour le recouvrir, on a simplement une preuve: ça facilite le travail pour saisir le tribunal, un huissier voir une société de créance ( je ne parle pas de son aspect légal mais du boulot qu'il fait à votre place) mais
un professionnel peut accepter un réglement en plusieurs fois, car c'est dans ses habitudes, ça rentre dans un roulement de trésorie, peut se monter compréhensible ou taper du poing sur la table.
entre particulier, tout est basé sur la confiance la plus pure qu'elle existe ( j'exclue les ventes de copinages):
-un gars que vous ne connaissez pas, veut vous faire partager ses souscis de trésories: si en effet il y a un bug et si vous les partagez, ne pleurez pas. A part la compassion des uns et des autres, n'importe qui, avec du bon sens....
Je comprends qu'un acheteur veut un proiduit tout de suite, mais le vendeur ( particulier) généralement céde car il a besoin de sous ( peu importe les raisons) et lorsqu'il y a probléme de paiement, "les mauvais payeurs ont toujours une bonne excuse".
En parralléle de ça, l'attrape-nigaud comme l'escroquerie existe:
-téléphonez à la banque pour savoir si un chéque est enciassable n'empeche pas le titulaire de vider son compte 2 heures aprés.
Enfin j'invite les uns et les autres à étudier un peu le principe de l'excrosquerie:
-la mise en confiance
-et de mettre suffisement sa "victime" dans une sitation parfois à la limite du ridicule, qu'avec le bon sens, ça aurait été évité! ( et de porter l'affaire en publique, c'est se monter du doigt)
pour la 'tite histoire, un escroc a réussi à vendre la Tour Eiffel à un ferrailleur et ce n'est pas la victime qui a sorti l'affaire de son contexte privé.