gugs l'a très bien présenté. C'est toujours rageant quand on subit la panne, mais zéro panne, c'est tout simplement illusoire. On ne peut que s'en rapprocher, pas l'atteindre.
Pour baisser le taux de panne, le coût est de plus en plus en plus élevé quand on augmente la fiabilité (plus facile de passer de 200% à 100% que de 3% à 2%). Il arrive un moment où c'est une question d'équilibre entre le coût de production (et donc le prix) et le coût des retours (aussi compris dans le prix

, sachant qu'il n'y a pas que l'aspect financier direct, mais aussi l'image et donc toute la stratégie de com).
Nikon se situe plutôt dans le haut du panier, mais n'est pas non plus infaillible.
Pour compléter, contrairement à une idée reçue, mêlant le classique "c'était mieux avant" et une certaine ignorance de l'industrie, la qualité a largement augmenté en quelques décennies. Mais dans le même temps, la complexité et les quantités produites aussi : une panne peut être plus handicapantes (on ne sait pas réparer soi-même une injection électronique comme on réparait une 2CV avec une épingle) et plus courantes (2% sur des millions d'utilisateurs, ça fait forcément plus de monde).
Quand ça arrive, il n'y a plus que le retour au SAV, hélas. Si c'est au tout début, le mieux est en effet l'échange.
Bonne chance et bonnes photos !