Bonjour à toutes et tous,
J'espère que tout va au mieux pour vous et vos proches en ces périodes sanitaires délicates . . . .
Je profite du confinement, et viens vers vous pour un conseil. Après avoir consulté plusieurs personnes à ce sujet . . . . aucune n'est du même avis . . . .
Je bricole en pose longue avec mon D500 et un 24mm f/1.8G (acheté sans aucun regrets, grâce à vos conseils laissés sur un autre de mes posts).
J'ai récupéré un ensemble hétéroclite composé de : 1 porte-filtres + 1 polarisant + 1 ND 1000 + 1 ND 64 + 1 GND 16 + 1 GND 8. Le tout est en état pitoyable (verres rayés et ébréchés, résines marquées . . . ), mais ce kit me permet de m'initier à la pose longue à moindre cout. Il me permettra aussi de mieux cibler un futur investissement. Je voudrais me lancer dans un certain type de photos . . . et une question me creuse la cervelle . . . . . .
Voici mon problème: quand les conditions sont très délicates (photos de cascades en sous-bois, ruisseaux en forêt . . . ), il y a fort souvent d’énormes écarts en terme de dynamique de scène: les zones sur, et sous-exposées sont fréquentes, et excessivement marquées -> les zones correctement exposées, elles, restent faibles, voir quasi nulles. Difficile de faire une photo témoin (photo test) dans ces conditions sans GND !
Voici ma question: est-ce plus judicieux de laisser le polarisant et le GND placés sur l'objectif pour effectuer la photo témoin, puis évaluer le temps de pose avec ? ou pensez-vous qu'il soit plus fin de les enlever, d'effectuer la photo témoin, puis d'évaluer le temps de pose en les prenant en compte dans le calcul ? Dans ce cas dans quelle zone faire la mise au point de la photo test ?
Un conseil, un truc, une astuce ?
Je vous remercie de l'aide que vous pourriez m'apporter / Cordialement / Nes
PS: pour information, je souhaite dans la mesure du possible, m'affranchir du bracketing, et pouvoir gérer ça par de filtres.