Je suis d'accord avec l'auteur sur son titre : "le mode M pas forcément le mieux".
Cela dépend tellement des circonstances, et que pour une grande majorité d'utilisations et d'utilisateurs, les modes semi-automatiques restent les plus approprié.
Le mode M doit être utilisé en connaissance de cause.
Le choix du mode dépend de la situation, c'est la chose la plus importante à prendre en compte.
Quand la lumière est en abondance, le mode priorité ouverture est le plus pertinent et rapide, dans des situations de contre jour ou de fort contraste, ont pourra utiliser la compensation d'exposition ou une mesure pondérée centrale ou spot. Cependant dans des situation ou l'on souhaite obtenir un résultat précis, au niveau de l'exposition/profondeur de champ/flou de mouvement, ou lorsqu'il n'y à très peu voir presque pas de lumière, la
maîtrise manuelle de son appareil est
indispensable à tout photographe.
Nos boitier sont performant pour
mesurer la lumière, cependant ils se basent sur une
interprétation moyenne, ne tenant pas compte de ce que l'on souhaite
se focaliser (
sur le sujet ), et lors de
fort contrastes lumineux, tel des photo de spectacle, des environnement à prédominance sombre ou lumineuse, c'est à nous de
faire le choix de ce que l'on veux mettre en avant, et c'est là que le mode manuel à de sens, sur un spectacle ou des lumière s'allument et s'éteignent, bougent, ( sans parler du cadrage, et donc de la mesure ), l'appareil ajustera constamment les réglages, dans certain c'est une
bonne chose, d'en d'autre cela est une
mauvaise chose.
dès lors qu'on introduit
l'utilisation d'éclairage dans une image au profit du sujet, le
mode M est
indispensable pour contrôler l'expo, mais surtout pour
gérer le rapport entre l'éclairement du sujet vis à vis de l’environnement lumineux.
Un photographe shootant essentiellement des photo en "
lumière naturelle" sera en
mode A majoritairement.
Mais dès que l'on inclue l'installation ou l'utilisation de
sources lumineuses diriger
pour le sujet, l'équation change, et il faut passer en
mode manuel. c'est également le cas dès que l'on aborde des pauses longes.
Pour des photo de concert et de spectacle par exemple, je choisi en fonction de la scène.
de bonne scène professionnelles sont généralement suffisamment éclairé ( sauf si volonté artistique ), dans ce cas je me met en A et je monte un peu en ISO pour avoir de la marge, et j'applique une légère compensation d'expo ( entre 2/3 de stop et 2 stop ), en fonction de si il y a beaucoup de lumière de face ou de top, à l'inverse sur des spectacles avec très peu de lumière je passera en manuel pour éviter que mon boitier me joue des tours et avoir des images net et suffisamment exposées.
il y a plein d'autre cas ou
le mode manuel est important, mais la vraie chose importante, c'est de
savoir maîtriser tous les modes et de savoir quoi
choisir en fonction de ce que l'on cherche à obtenir, et de ce qu'il y à
devant nous.
PS : Pour ceux qu'il veulent aller plus loin, étant aspirant directeur de la photographie, il faudra surtout exercer son œil, être capable de définir des réglages juste en regardant devant soit, en fonction de la scène et du résultat que l'on cherche à obtenir, cela demande de l’expérience, mais cela permet de mieux comprendre l'exposition, pas seulement comme une série de réglages, mais comme un outil d'expression au service d'une vision artistique.