Bon, resumons-nous.
La profondeur de champ depend uniquement de la focale, de la distance du sujet et de l'ouverture. Plus celles-ci augmentent (focale, distance et ouverture - chiffre plus petit pour le dernier) plus la profondeur de champ diminue. A cadrage egal en DX on prendra une focale plus courte qu'en FX ==> PDC plus importante en DX qu'en FX.
Pour le bokeh (qualite du flou), notion subjective (!), les parametres sont la focale, la distance du sujet, la distance entre le sujet et le fond/arriere plan, l'ouverture et le nombre de lamelles du diaphragme. La encore plus ces parametres augmentent, et plus le flou va etre doux. Mais attention, le mieux est l'ennemi du bien; il ne faut pas trop en faire non plus... La encore, a cadrage egal en DX on prendra une focale plus courte qu'en FX ==> bokeh/flou different en DX et FX.
Autre point sur le flou/bokeh: en numerique l'accentuation, si elle est trop pousee, induira une transition net/flou plus brutale qu'en argentique !
Enfin, la zone d'ombre, pour moi, ce fameux cercle de confusion... Les diverses formules de calcul de PDC le prennent en compte, et celui-ci varie en fonction de la surface sensible (film, capteur). On lit ici et la que la taille de la surface sensible entre en ligne de compte... je ne comprend pas comment celle-ci peut influer. Par contre, la densite des pixels/grains doit influer (et donc, mais indirectement, la surface sensible); si je comprend bien, et si on pousse la logique jusqu'au bout, ne faudrait-il pas aussi prendre en compte la densite du tirage final (en DPI par exemple) ?