A nph:
- Pourtant c'est très simple, il suffit de réfléchir un peu (de lumière

!):
- 1°/ En mesure incidente, le posemètre à main mesure la quantité de lumière qui éclaire le sujet photographié (qu'il soit blanc, gris, noir ou en couleur: aucune importance) et affiche les paramètres à régler ( ouverture et vitesse );
- 2°/ En mesure réfléchie, la cellule du boîtier (ou le posemètre indépendant) mesure la lumière réfléchie par le sujet photographié sans connaître ni son coefficient de réflexion ni son coefficient d'absorption de lumière. Afin de résoudre ce problème, il a été donc décidé d'étalonner les cellules pour un coefficient de réflexion de 18% correspondant à une charte de gris moyen Kodak. En évaluant la scène photographiée, le photographe corrige les indication de la cellule ou du posemètre, en fonction du taux de réflexion du sujet photographié: + 0,5 à + 1,5IL pour un sujet situé devant un mur blanc par exemple , -1 à -1,5 IL pour une scène située devant un tas de charbon

!
- Naturellement, les cellules multi-zones des boîtiers modernes corrigent les mesures en fonction des situations-types enregistrées dans la mémoire du processeur ( ou des processeurs) de traitement qui tiennent compte d'un tas de situations et d'éclairages plus ou moins complexes. Mais encore aujourd'hui, l'oeil expérimenté du photographe est capable de mieux estimer l'éclairement d'une scène photographiée que n'importe quel processeur sophistiqué high-tech.
Cordialement,
Photokor.