Ce n'est pas aussi simple que ça Corderaide, il y aussi l'ouverture (et f32 = diffraction)
Si c'est simple. L'utilisateur règle l'ouverture, et éventuellement la focale si elle n'est pas fixe. L'appareil peut alors largement calculer la distance d'hyperfocale, connaissant la résolution du capteur (éventuellement avec des RAW à taille variable), ça n'a rien de complexe. Il n'y a besoin QUE de focale/ouverture/cercle de confusion nécessaire (ce qui revient exactement à connaître la résolution du capteur) ; une fois ces paramètres réglés (s'ils le sont) c'est bon.
Quant à la diffraction, c'est pas le boulot du boîtier de surveiller les conneries du photographe

(enfin si c'est une connerie, on peut survivre avec)
C'est pas une question de "physique, on ne peut pas", on peut tout à fait et c'est même la physique qui le dit

Et qu'il prenne et choisisse la photo la plus nette tout seul ? 
L'exposition automatique.
Le focus automatique.
Les capteurs sursensibles pour faciliter les décisions après-coup.
La post-prod (interne ou non).
On se repose déjà beaucoup sur des algos et des automatismes pour les photos, hein... on est pas à un automatisme près.
A mon sens, tout ce qui n'est pas la composition doit pouvoir s'automatiser le plus possible, pour que le photographe se concentre sur l'essentiel (la composition). Donc si on peut mettre une hyperfocale pour les paysagistes et plus jamais se poser la question... ça sera pour le mieux.