Réponses à plusieurs point soulevés :
- D-Lighting activé à la prise de vue ou au traitement : l'effet n'est pas le même… l'explication se trouve dans la FAQ sur le site de Nikon. Ce qui est sûr, c'est que le D-Lighting à la prise de vue a pour effet de sous-exposer volontairement la photo à la prise de vue (pour ne pas cramer les blancs) dans une limite raisonnable pour que les ombres soient exploitables au traitement (Canon a le même dispositif qui s'appelle autrement… Désolé, je n'utilise que du Nikon)
- correction systématique d'exposition : oui, c'est possible… Chez moi (sur D90, D7200… et D300 quand je ne travaille pas en mode connecté) : + 0,3 diaph en général, - 0,3 diaph pour le flash et D-Lighting auto
- écart d'exposition entre objectifs : c'est normal… en photo, les objectifs sont gradués en ouverture géométrique (important pour la profondeur de champ), il peut donc y avoir (il y a toujours) des écarts entre les objectifs suivant leur construction (j'ai déjà dit à plusieurs reprise qu'entre deux objectifs Nikon, j'avais 2/3 de diaph). Comme tout le monde travaille en TTL, on s'en fout (le TTL, c'est fait pour ça !). Bien sur, il y a une chose qu'il ne faut jamais faire : faire la mesure avec un objectif et le remplacer pour faire la photo en gardant les mêmes réglages, ça marche (trop souvent) pas ! En cinéma, les objectifs sont gradués en ouverture photométrique et il n'y a pas de problème (hors profondeur de champ… et le fait que la version cinéma de l'objectif photo qui ouvre à 1,4 ouvre seulement à 1,6 ou 1,7…). Ceux qui utilisent des posemètres pour faire leur mesure d'exposition connaissent le problème et savent gérer…
- avec les capteurs actuels, l'exposition à droite ne sert plus à grand chose… (vu les manips de niveaux qu'il fallait faire ensuite pour rattraper l'image)
A+
Laurent Galmiche