L'erreur serait de penser qu'il y a une seule réponse, bonne pour tout.
Pour le partage, via e-mail ou via une galerie, ou pour l'affichage sur un écran conventionnel, il vaut mieux en effet (i) réduire la taille en pixels (1920x1080 = 1620x1080 en respectant le ratio 3/2) et (ii) compresser légèrement, qualité entre 85% et 100%, sachant que la différence entre les deux est très généralement invisible, mais aussi que la différence de poids en Ko est négligeable.
Cette étape permet de confier la tache à un logiciel photo avec des algorithmes de ré-échantillonnage et compression évolués, plutôt que de la confier ultérieurement à un processeur de downscalling qui opère à la volée, dans des conditions techniques inconnues. Et en plus, on gagne en temps d'affichage.
Pour l'archivage en jpeg, c'est plutôt aucune réduction en pixels et compression minimale (100%). Si besoin, on sera toujours à temps d'y revenir, et de faire une copie moins définie et plus compressée.
Pour l'impression, il vaut mieux par principe disposer de l'image la plus définie et la moins compressée possible, à arbitrer selon les exigences de l'imprimeur.
Si on imprime chez soi, pas de souci, on retient les critères de qualité les plus élevés.
Si on utilise un prestataire web, ce dernier peut éventuellement limiter le poids en Ko et/ou la taille en pixels des images à télécharger, mais la limite haute est en général suffisante pour n'avoir à jouer ni sur le nombre de pixels ni sur la compression.