certains magasins vendent des extensions de garantie mais gardent les primes dans leur poche
Les deux méthodes co-existent.
La méthode classique : le magasin a un contrat avec un assureur, qui prend en charge le coût des réparations. En fin d'année, on fait le rapport sinistres/primes, c'est à dire le coût des réparations, rapporté aux extensions de garantie encaissées, et le magasin reçoit une partie substantielle du bénéfice technique du contrat (encaissements moins coûts de réparations).
Comme c'est un business très lucratif, certains magasins préfèrent ne pas passer par un assureur et assument seuls le risque ; qui est très rarement négatif sur des grands nombres. Donc ils empochent 100% de la différence.
Le principe est le même par exemple pour les assurances invalidité-décès vendues en même temps qu'un contrat de crédit (mais dans ce cas, les banques passent systématiquement par un assureur - éventuellement une filiale spécialisée).