Le jpeg n'est quand même pas si mauvais

. Les ingénieurs et les informaticiens qui ont planché sur les algorithmes de compression ont plutôt fait du bon, et même de l'excellent travail.
Mais si tu veux conserver une latitude de retouche la plus importante possible, et un fichier à la définition et à la profondeur de couleurs la plus importante possible, il faut bien entendu privilégier le raw, en définition maxi et en 12/14 bits.
Une fois la retouche effectuée à ta satisfaction, soit tu conserves le raw (par ex. pour pouvoir revendiquer ton droit d'auteur, pour reprendre la retouche autrement, pour livrer un .tiff 16 bits, etc, les raisons de conserver les raw ne manquent pas), soit tu choisis de convertir en jpeg et tu détruits le raw.
Je comprends bien l'intérêt d'avoir de petits fichiers, qui consomment moins de place en stockage (quoi que, au prix actuel du To, comme le remarquait Alfor...), mais l'approche la plus répandue est plutôt de privilégier la définition maxi et la profondeur de couleurs maxi à la prise de vue, qu'on peut toujours réduire, alors que le contraire, augmenter, n'est pas possible.