C'est une question intéressante : à partir de quel moment peut-on vraiment dire qu'un mot étranger est accepté comme un mot de la langue française ?
Les japonais ont une solution plus objective et simple : parmi leurs 3 systèmes d'écriture, il y en a un qui sert plus particulièrement à transcrire la phonétique des mots étrangers qui sont intégrés au langage.
Le problème, c'est que le japonais n'est pas d'une richesse phonétique extraordinaire (mais tout de même mieux que le mandarin, par exemple, je pense), si bien que la transcription phonétique en se fait pas sans pertes. Par exemple, relevons que "Kurisumasu" (lire à voix haute en prononçant peu les "u") signifie Noël ; je vous laisse deviner pourquoi...