Cet article s'adresse aussi et surtout aux millions de possesseurs de compacts argentiques qui ont fait la joie de nos chères marques de boitiers et de films. C'est, je pense, cette mane aujourd'hui disparue qui cause la perte réelle de l'argentique, car c'est de là que la trésorerie venait, plus que par des passionnés comme nous, convaincus de la parfaite logique de la coexistance des deux systèmes. Les ravages d'un marketing redoutable de persuasion a suffit en moins d'une décénnie à convertir la masse des utilisateurs occasionnels au numérique, les attirant dans le piège du consommable hors de prix et à la qualité aléatoire. Fidèle à l'argentique, jen'en veux pas au numérique, mais à ceux qui ont trouvé le moyen de faire de l'argent "facile", loins de toutes passions photographiques et risquant de condamner à court terme les vrais passionnés que nous sommes.
Très bon article,tout est dit et j'aime bien le côté partisan exacerbé, c'est de la peine et non de la rage qui est exprimée.