Autrefois, dans les 60's, du temps des optiques à mise au point par déplacement global du bloc optique, la focale restait stable.
Leitz indiquait le coefficient pupillaire (rapport des diamètres visibles depuis l'avant et l'arrière de l'optique) utile pour calculer le coefficient de prolongation de temps de pose, notamment avec les têtes 65 mm (3,5), 90 mm (2,8), 135 mm (4), que l'on montait sur le soufflet M et la Visoflex (ou avec la bague à double rampe hélicoïdale).
Le 65 était très efficace, car sa luminosité à courte distance baissait moins que tous les autres, du fait de son coeff pupillaire favorable.
Maintenant, avec les optiques à IF (internal focus?), la focale semble varier avec la màp, dans des proportions inconnues, voire mystérieuses...