De nos jours, le prix d'un produit n'a plus rien à voir avec le coût de fabrication. Ces messieurs qui en décident font de savants calculs, et le prix de vente défini est celui que le consommateur est prêt à payer pour acheter ce produit plutôt que celui du concurrent. Si pas de concurrent réel, le prix sera haut, sinon on s'aligne plus ou moins.
Il faut aussi amortir les coûts de développement, et avoir de la marge pour pouvoir développer les produits futurs, et surtout payer les actionnaires...
Un Nikon F2 était à son époque comparativement aussi cher, voire plus cher qu'un F5 ou un F6, et un Nikkormat EL valait à l'époque quasi autant qu'un D50 de nos jours.
Pour le reste, tout à fait d'accord avec Jef.