Pascal, ne t'inquiète pas trop : nous ne sommes qu'en novembre, le successeur hypothétique du D80 ne serait pas annoncé avant quelques mois, disponible encore plus tard, et la pénurie classique de début de commercialisation empêchera beaucoup de monde de tenir son apn dans les mains avant Noël 2008.
cf ce qu'on disait sur un autre fil (
http://forum.nikonpassion.com/viewtopic.php?pid=137210#p137210 ) :
Les discussions du forum l'ont bien montré par exemple pour le D200 face à l'arrivée du D300 : les boîtiers ne deviennent pas tout à coup mauvais sous prétexte qu'un succeseur leur est annoncé ! Pour mémoire, voici un historique des annonces de DSLR Nikon :

Depuis 2003, Nikon nous a habitués à 1 annonce par an sur le segment pro, mais seulement à 1 annonce tous les deux ans par évolution d'un même modèle pro !
Depuis 2005 Nikon annonce 3 à 4 boîtiers par an.
On peut donc imaginer que cette tendance perdure dans les années qui viennent...
NB : La graduation en ordonnée est arbitraire : plus haut pour le segment pro / moins haut pour le segment débutant.
Au sein d'un même segment, j'ai incrémenté de 1 pour un vrai nouveau boîtier (passage de D1 à D2X ou D2H, par exemple), et de 0.5 pour une évolution sur un boîtier existant (passage de D40 à D40X par exemple).
j'ai pris le parti de ne pas multiplier les segments outre mesure, afin de dessiner de vraies tendances. Ainsi le D50 me paraît plus proche du D70 que du D40, même si le D50 offre moins de prestations que le D70 (c'estpour ça que la graduation du D50 est la même que celle du D70). Je n'avais pas envie de créer un segment spécifique au D50. Le D50 m'a d'ailleurs toujours paru avoir une position marketing bizarre.
Le D40 m'a paru consituer une innovation en soi, un segment non encore occupé. Le D50 n'est pas une vraie innovation, ni le D80 qui constitue une évolution sur le segment D70 (même si, d'un point de vue technologique, il emprunte aussi au D200, donc à un autre segment).
Bref, il est difficile de positionner le D50 et le D80, et mon choix est un peu arbitraire, je le reconnais.