Bonjour,
@ Jaco : oui, le "blimp" Nikon a existé (j'ai fait la bêtise d'en revendre un il y a belle lurette

!), et l'on pouvait y insérer une petite chaufferette dans le dos, qui chauffait à la fois la main droite et les piles. Ça doit être actuellement le genre de dinosaure introuvable mais, si l'on sait un peu manier l'aiguille et le fil, ça se fabrique aisément avec du bon coton bien rembourré

.
Pour la question du départ, les Nikkormat fonctionnent très bien même par grand froid, de même que les boîtiers de la lignée FM, et tous les appareils mécaniques.
Lors de l'hiver 1984~1985, j'ai fait des images en Champagne humide par -20 °C sans le moindre problème avec un FE et son moteur, difficile à protéger sous la veste monté sur un 5,6/600 mm IF ED…

Surtout, ce qui importe, c'est d'éviter les chocs thermiques : le passage brutal d'un environnement chaud ou tiède au grand froid (et inversement pour la condensation).
Ces temps-ci, j'aimerais qu'il fasse nettement plus froid pour voir ce que le D200 a dans le ventre (aucun problème par -5 °C ce week-end dans les marais de Guérande avec le 2,8/70~200 VR monté sur le TC 14 EII : l'AF fonctionnait mieux que mes doigts gelés et vieillissants

).