oui merci pour vos conseils...
le F80 est il si différent du F100 ?
sinon comment faire pour réparer mon F65 :
d'après mes derniers films, il ne mets pas la pellicule toujours au bon endroit... cad que les poses sont décalées vers l'avant ou l'arrière...
Je pense que le F65 est même encore accepté par le S.A.V. Nikon, ayant été encore en vente il n'y a pas si longtemps. Question de savoir maintenant si le prix d'une réparation vaut le coup comparé à un remplacement pur et simple par un autre F65 (oui, on est un peu arrivés à l'époque du "reflex jetable"

).
Le F80 est assez différent du F100, moins dans ses possibilités que dans sa construction. Il n'accepte les objectifs dépourvus de CPU que sans cellule, son boîtier ne contient pas beaucoup de métal, son viseur n'a rien à voir, le verre de visée est fixe (avec cependant la possibilité d'afficher un quadrillage "électronique"), le dos est fixe aussi... Aucune possibilité, que je sache, de le relier à un ordi pour "lire" les données d'exposition (qqch. que j'apprécie avec mon F90x). Et la version avec dos dateur, à ma connaissance, gâche toujours les images avec les informations, étant incapable de les imprimer dans les interstices.
Sinon, c'est un boîtier dont même quelques pros pas très riches (ou avares) se sont servi ou le font encore. Tout dépend des objos qu'on veut utiliser et si l'on veut un boîtier mécanique et simple ou un tout électronique (bien plus que le F100). Soit dit en passant : il utilise, dans la configuration de base, des piles lithium (CR2V, je crois) hors de prix. Une poignée supplémentaire est donc hautement recommandée. Je crois que le F100, en revanche, prend de simples AA, donc aussi des accus, tout comme mon F90x, avec ou sans poignée.
On pourrait dire un peu méchamment que le F80 est une sorte de version "expert" du F65, reprenant quelques éléments du F100, p.ex. en matière d'AF et pourvu d'un châssis un peu plus costaud.