Le catalogue Lightroom Classic, à proprement parler, est un fichier de type base de données. Il ne stocke que des données.
Le mien, pour 71000 photos, pèse 1,84 Go. La sauvegarde se fait en quelques dizaines de secondes en incluant une vérification de cohérence.
Tout le reste, aperçus Lightroom, aperçus dynamiques, fichiers utiles à Lightroom, est stocké dans plusieurs dossiers/fichiers qu’il n’est pas nécessaire de sauvegarder puisqu’absolument tout peut être reconstruit à partir du seul catalogue et des fichiers photos natifs.
Parler de lourdeur du catalogue Lightroom n’a de sens que lorsqu’on n’a jamais pris la temps de s’intéresser à ce système qui est le plus universel et efficace qui puisse exister.
Mais il est possible aussi de jouer manuellement avec des centaines de dossiers et copies de fichiers. Ce n’est qu’une question d’espace de stockage qui gonfle inutilement.
Les XMP contiennent les données relatives au traitement des fichiers. Il ne faut bien évidemment pas les supprimer.
Ce sont eux qui permettent la compatibilité avec les autres logiciels Adobe.