La salle de bains de l’évêque à la fin du XVIIIe siècle reprenait les plans de celles de l’antiquité. Préparer un bain n’était pas une mince affaire. Il fallait à un domestique équipé de deux seaux entre vingt et trente voyages pour remplir la baignoire. Il fallait aussi allumer et entretenir le fourneau pour chauffer l’eau. Après le bain, il fallait enfin vider la baignoire (au seau, par la fenêtre).