Paris Photo vise plus le public des collectionneurs d’art internationaux (venus en nombre) que celui des photographes, et les appareils photos y sont extrêmement rares. On note tout de même la présence de téléphones portables (photo 1).
Les tirages de grands noms du passé m’ont particulièrement touché. Regardez, par exemple, Le Baiser de Man Ray, que je remercie la Galerie Bruce Siverstein de m’avoir autorisé à reproduire (photo 2). Il est tout petit et fripé, il aurait bien pu disparaître mais je lui trouve une puissance évocatrice que bien des œuvres contemporaines n’ont tout simplement pas.