Contrairement à l'exposition en lumière continue (soleil, tungstène, ...), la vitesse d'obturation n'intervient pas dans le calcul d'exposition au flash.
En effet, la durée d'un éclair est de l'odre du 1/000ème de seconde. Que l'obturateur reste ouvert 1/200ème de sec ou 1/10ème de seconde, le capteur ne sera illuminé que pendant 1/1000ème de seconde.
Le but est donc de déterminer l'ouverture à laquelle on désire travailler en fonction de la PdC souhaitée puis on règle la puissance du flash jusqu'à obtenir une exposition correcte pour l'ouverture selectionnée.
A partir de plusieurs flashes, il faut être en mesure d'effectuer des mesures précises en plusieurs points de l'espace. D'où l'utilité du flashmètre.
Le flashmètre est aussi un outil pratique lorsque l'on souhaite combiner de la lumière continue avec des flashes. Dans ce cas particulier la vitesse d'obturation permet de déterminer l'exposition pour la lumière ambiante, l'ouverture permet de déterminer l'exposition du flash.