Au milieu d'un élevage de résineux, j'ai rencontré ce vieux chêne. Seul feuillu épargné par les bucherons, alors que les coupes rases se rapprochent inévitablement de lui, je croise les doigts pour qu'on le laisse tranquille.
Le drame du Morvan, où l'on a longtemps pratiqué la monoculture du résineux car il pousse vite, mais qui attire à elle la maladie. A présent on coupe tout, à blanc, mais sur des terres devenues acides, c'est difficile de replanter des feuillus. Surtout quand on y va à reculons. Le profit ... sale maladie.