Le brouillard traduit bien l'ambiance particulière humide et froide dans laquelle se trouve le faisan noir, comme si le gallinacée se dissimulait derrière cette opacité naturelle pour masquer sa présence à l'homme.
Le chardonneret élégant quant à lui semble renfermé dans sa boule de plumes gonflée craignant sans doute le frima environnant qui le glacerait, le fait qu'il soit décentré dans l'image ne me gêne pas, j'aime sa posture est naturelle perché sur la végétation.
Deux jolis moments saisis en instantané dans cette nature au visage d'automne, bravo.
