Tu dates, une modèle est accepté depuis longtemps, j'ai eu cette discussion avec une amie écrivain (elle écrit des livres sur la littérature). Il semble que les deux soient maintenant acceptés.
Mais à une époque, c'était vrai
tu as parfaitement raison mais que depuis 3 ans
Le jeudi 28 février 2019, l’Académie française a indiqué qu’« il n’existe aucun obstacle de principe à la féminisation des noms de métiers ». Pour autant, l’institution se montre prudente. Dans un rapport d’une vingtaine de pages, produit par une commission de quatre académiciens, elle se refuse à « édicter des règles de féminisation », se bornant à « indiquer les limites » des nouvelles formes. Voici ce qu’il faut retenir de ces recommandations.
Cas n° 1 : les noms de métiers épicènes
= Ils ont la même forme au masculin et au féminin : architecte, artiste, journaliste, juge, secrétaire, comptable, garde, gendarme, diplomate, maire, ministre, peintre, poète, etc.
Seul le déterminant permet de différencier le féminin : une architecte, la maire, cette poète…
Certains de ces noms terminés par un « e » muet, comme maire, peintre, poète, faisaient anciennement leur féminin en -esse : mairesse, peintresse, poétesse, lequel était plus marqué.