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La nature essaye de reprendre (un peu) ses droits
« le: 02 Avr, 2022, 11:19:57 am »
 :CH

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La nature essaye de reprendre (un peu) ses droits
« Réponse #1 le: 02 Avr, 2022, 11:43:00 am »
Et elle y arrive !
Scientifiquement parlant, si nous venions à disparaître, la majeure partie de ce que nous avons construit (hors zones désertiques), serait détruit en 2000 à 5000 ans par la végétation. Il ne subsisterait que de vagues ruines. Un simple pissenlit peut te faire éclater le béton d'un trottoir...
Plus proche, la vitesse à laquelle la nature a repris ses droits pendant le confinement lié à la Covid. Là on a eu une belle leçon.
Tout va mieux dès que nous ne sommes plus là ! =(
Ta photo, c'est pour moi, une raison d'espérer. Merci du partage.
Non je ne déprime pas !!!!!!!!!!!!!!!!

La nature essaye de reprendre (un peu) ses droits
« Réponse #2 le: 02 Avr, 2022, 14:20:43 pm »
Et elle y arrive !
Scientifiquement parlant, si nous venions à disparaître, la majeure partie de ce que nous avons construit (hors zones désertiques), serait détruit en 2000 à 5000 ans par la végétation. Il ne subsisterait que de vagues ruines. Un simple pissenlit peut te faire éclater le béton d'un trottoir...
Plus proche, la vitesse à laquelle la nature a repris ses droits pendant le confinement lié à la Covid. Là on a eu une belle leçon.
Tout va mieux dès que nous ne sommes plus là ! =(
Ta photo, c'est pour moi, une raison d'espérer. Merci du partage.
Non je ne déprime pas !!!!!!!!!!!!!!!!

Merci pour ton commentaire qui fait réfléchir.

La nature essaye de reprendre (un peu) ses droits
« Réponse #3 le: 02 Avr, 2022, 14:31:52 pm »
Et elle y arrive !
Scientifiquement parlant, si nous venions à disparaître, la majeure partie de ce que nous avons construit (hors zones désertiques), serait détruit en 2000 à 5000 ans par la végétation. Il ne subsisterait que de vagues ruines. Un simple pissenlit peut te faire éclater le béton d'un trottoir...
Plus proche, la vitesse à laquelle la nature a repris ses droits pendant le confinement lié à la Covid. Là on a eu une belle leçon.
Tout va mieux dès que nous ne sommes plus là ! =(
Ta photo, c'est pour moi, une raison d'espérer. Merci du partage.
Non je ne déprime pas !!!!!!!!!!!!!!!!
ce n'est pas toujours le cas.
à Trégunc, ils avaient prolongé la période d'interdiction d'une plage, après le confinement, jusqu'à la fin de l'été.
ceci pour protéger les nids de gravelots à collier interrompu.
j'ai demandé à un garde si la non fréquentation de la plage par les humains avait porté ses fruits.
il m'a répondu que non. les oiseaux, tels les goélands et corneilles, n'étant plus dérangés du fait que les humains avaient déserté,
en ont profité pour prédater les nids de gravelots.
résultat, moins de naissances que l'année précédente.

La nature essaye de reprendre (un peu) ses droits
« Réponse #4 le: 02 Avr, 2022, 18:07:53 pm »
ce n'est pas toujours le cas.
à Trégunc, ils avaient prolongé la période d'interdiction d'une plage, après le confinement, jusqu'à la fin de l'été.
ceci pour protéger les nids de gravelots à collier interrompu.
j'ai demandé à un garde si la non fréquentation de la plage par les humains avait porté ses fruits.
il m'a répondu que non. les oiseaux, tels les goélands et corneilles, n'étant plus dérangés du fait que les humains avaient déserté,
en ont profité pour prédater les nids de gravelots.
résultat, moins de naissances que l'année précédente.

Très intéressant complément !

La nature essaye de reprendre (un peu) ses droits
« Réponse #5 le: 02 Avr, 2022, 19:53:19 pm »
Si notre présence peut parfois être bénéfique pour certaines espèces, notre absence est également un facteur qui peut faire augmenter certains types de prédations. Reste à savoir quel taux de destruction des oeufs et poussins de gravelots est naturellement imputable aux corvidés et laridés locaux. A connaître aussi : quel lien y a t'il entre le développement de ces espèces prédatrices et les activités humaines.
On a tellement altéré les équilibres qu'il est difficile de prendre en compte tous les paramètres pouvant interférer dans les faits écologiques.

D'où l'intérêt de photographier en continu les espèces présentes sur un lieu défini pour constater les évolutions. Ca peut aider à tirer des conclusions mais il faut toujours se méfier des apparences.

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