Pour être utilisateur de boîtiers de différentes marques, en reflex (Nikon) et hybrides (Nikon, Olympsu et Fuji), je ne trouve pas que les menus des uns ou des autres soient particulièrement mieux faits ou moins bien faits. Chaque constructeur suit sa propre logique et même si certains choix de répartitions d'options entre différentes branches des menus peut laisser interrogatif, on peut s'en sortir, à quelques conditions :
- ne pas négliger la lecture du manuel de l'utilisateur. Certes, ce n'est pas un guide pédagogique, mais ça couvre les différents aspects (avec, parfois, des soucis de traduction qui n'arrangent pas les choses, je le reconnais) ;
- prendre son temps pour découvrir l'arborescence des menus ;
- pointer les éléments que l'on ne modifiera que lors de la première mise en route (la manière de dater les images, les infos de copyright, la dénomination des fichiers, etc.), celles auxquelles on touchera rarement, et celles auxquelles on recourra souvent ;
- choisir, quand c'est possible, les éléments que l'on place dans le "menu d'accès rapide" ;
- affecter, quand c'est possible, les fonctions dont a le plus souvent besoin aux touches et molettes éventuellement paramétrables. Et ne pas oublier de noter ce que l'on a affecté à quoi !
Les boîtiers OMD chez Olympus offre des grandes possibilités de personnalisation. Cela peut sembler envahissant au début, quand on se demande comment on le personnalisera (si on ne veut pas en rester aux affectations par défaut). Mais une fois qu'on a procédé à la personnalisation, un tel boîtier n'est pas plus compliqué à utiliser qu'un boîtier de même niveau de gamme chez d'autres constructeurs.