Cher vous tous,
Hélas, c'est à la fois plus simple et plus compliqué !
C'est une histoire de pied et de longueur de la courbe de sensibilité.
En un mot : de sensitométrie.
Le film, son dévellopement, le choix du papier, le révélateur de celui-ci, sans oublier les dilutions, les températures, les durées, etc influent le contraste et la densité d'une photo.
Autant dire que les choix sont infinis.
Tout est affaire de goût !
Mon conseil : ne pas se lancer dans des essais perpétuels, adopter quelques produits et une méthode de travail immuable, tenir des notes des résultats, les mauvais surtout, et sans cesse remettre sur le métier.
Il y a moins de bons tireurs que de bons photographes, surtout en N&B.
Je ne puis que conseiller le livre de Pierre Glafkidès, chimie et physique photographiques chez
Paul Montel. 1033 pages de pur bonheur ou de violents maux de tête, c'est selon.
Amicalement.
Yvan