C'est plus du publi-reportage, et pas de la photo culinaire; un UGA devrait te satisfaire.
Quand aux déformations liées à l'UGA ( distorsion en trapèze ) ça se travaille sous logiciel. D'autre part, ne te tracasse pas ce n'est pas sur des photos publiées par La Dépêche que ton travail va être jugé. La plupart des correspondants de ce journal font des photos avec un smartphone ou au mieux un compact, et pour le journal tout va très bien.
Si un jour tu es amenée à faire de la photo culinaire tu verras que les chefs savent exactement les impératifs de celle-ci, notamment trépied obligatoire et éclairage additionnel artificiel. Ils ne te demanderont pas des résultats lors d'une soirée festive ou relationnelle. S'ils le font ( ça peut arriver, hélas ) à toi de leur expliquer que tout comme eux, ne peuvent pas réaliser un homard à l'armoricaine avec le même matériel que pour réaliser un œuf-coque, des photos culinaires destinées à être, soit publiées, soit imprimées sur des affiches nécessitent un matériel différent que celui destiné au publi-reportage.
Et si jamais ils insistent, un conseil décline ce contrat, ils ne seront pas, et toi non plus satisfaits .
Donc en résumé pour ce type de photos un UGA grande ouverture et joue avec la montée en iSO du boîtier. 14-24 le top évidemment!