Tout dépend en effet comment on opère le tri, c'est à dire sur quelles bases qualitatives, en sachant que certains vices ne sont pas réparables (flou...), que d'autres se réparent facilement (exposition, balance des blancs...), et enfin que certains nécessitent visiblement une intervention plus lourde, mais que l'image a tout de même un intérêt.
Une image imparfaite à la prise de vue, mais unique en son genre dans la série, justifie souvent qu'on y passe un peu de temps. Lorsqu'on connaît bien ses logiciels, on est capable de prédire sans difficulté ce qui est rattrapable ou non, et aussi la méthode à utiliser, donc le temps à y passer.