La fonction ISO Auto est (amha) à éviter en général.
N'importe quoi. La fonction iso auto est une des fonctionnalités les plus pratiques qui soit,
à systématiser à main levée.
C'est encore plus vrai avec les boitiers qui reconnaissent la focale, le boitier ajustant la vitesse plancher en fonction de la focale employée (paramétrable à 1/F, 1/2F, 1/4F...) et ne montant en iso que si et seulement si la vitesse n'est pas suffisante.
Dès lors, en priorité ouverture, il n'y a plus qu'à s'occuper de choisir l'ouverture et qu'importe les conditions de luminosité, le risque de flou de bougé lié à une vitesse insuffisante est supprimé.
Dans des cas plus spécifiques et plus techniques (spectacle, animalier...), l'iso auto peut aussi avoir beaucoup d'intérêt en mode manuel (on impose une ouverture généralement grande et une vitesse suffisamment rapide, le boitier ajuste l'expo en modulant la sensibilité).
En revanche, sur trépied, dès lors que le temps de pose importe peu, il faut évidemment penser à désactiver l'iso auto.
Pour répondre à notre amie :
La lumière très dure n'aide pas.
Sur la première, la dynamique de la scène (écart de luminosité entre les zones sombres et claires) est très élevée et dépasse les capacités du capteur. Il faut jouer en post traitement en réglant finement l'exposition et en jouant avec les récupérateurs des hautes et basses lumières.
Sur la dernière, le halo est certainement dû au fort contre-jour (préférer un meilleur éclairage).