Jemagphotos et Henri Avril, merci pour votre ressenti

Il est vrai qu'il y avait beaucoup de monde sur le parvis, ce 15 Août et pas simple de choisir un point de vue .
En ce qui concerne le cliché, il est vrai que le passant est bien présent dans la composition. J'ai longuement réfléchi sur le recadrage et sur le choix de conserver ou de supprimer ce passant;
1-si je recadrais plus serré, vers un format quasi carré, je supprimais le passant, certes, mais je mettais du même coup les deux protagonistes dans un environnement calme, loin de la réalité urbaine. Il ne s'agissait plus d'une photo de rue, pour moi, mais d'une présentation d'un travail.
2-si j'optais pour un cadrage plus large, le passant devenait acteur d'une animation de rue. Ce monsieur sort de la ruelle, son attitude étonnée ainsi que la présence de personnes assises en terrasse sont autant d'éléments d'animation urbaine qui viennent renforcer le paradoxe entre le travail plutôt zen du caresseur et le lieu plutôt bruyant où se fait ce travail.
J'ai fait le choix de la seconde hypothèse
