Il y a deux types de mécanismes:
1. Celui où le boitier ne déclenche que si le diaphragme s'est fermé (exemple, de mémoire: l'Olympus Pen F) dans ce cas, le déclenchement peut être retardé, mais la pose est OK. Exemple vécu sur un 40mm f:1.4 dont le diaphragme est huilé également.
2. Le mécanisme Nikon où le boitier lâche l'ergot de l'objectif en laissant celui-ci se refermer à son rythme sous l'action d'un ressort interne à l'optique. Dans ce cas, l'appareil déclenche quelle que soit la position du diaphragme, ce qui m'avait conduit dans les années 80, à des surexpositions de plusieurs diaphs.
Le problème de la graisse sur l'iris des optique Nikon, c'est qu'on ne sait jamais à quel diaphragme la photo a été prise...