- Quant on voit les problèmes de bugs (logiciels ou purement électromécaniques) que rencontrent de nombreux possesseurs des kits D90/18-105VR, on peut effectivement se demander sur la réelle "revanche du polycarbonate"

! Sans tenir compte de la fragilité des ailettes de baïonnettes qui se brisent comme du verre au moindre choc et dont le remplacement représente des montants importants!
- Un autre problème , en plus de celui qui concerne la faible luminosité de ces zooms "miracles", et que j'aurais aimé élucider, concerne le rendu calorimétrique de ces optiques. En effet, un verre optique de très haute qualité, dont l'élaboration nécessite du sable de silice ou de quartz de très grande pureté, en plus d'autres composés chimiques très élaborés et sophistiqués, coûte très cher. Les éléments asphériques moulés à faibles tolérances coûtent également infiniment plus chers que les éléments asphériques hybrides (élément sphérique en verre + pastille collée en acrylate). Il en est de même pour les traitements de surface élaborés (Nanocristal chez Nikon par exemple). Si autrefois, avec les projections grand format des diapositives, il était facile de juger du rendu colorimétrique (pureté et justesse des couleurs, transparence) d'une optique, aujourd'hui, avec les écrans d'ordinateurs à la colorimétrie imparfaite et au calibrage incertain, il est quasiment impossible de porter un jugement objectif sur le rendu réel d'une optique. "Cerise" sur le gâteau, on manque réellement de recul pour juger de la fiabilité dans le temps de ces objectifs, notamment de ceux équipés de dispositif antibougé VR.
Cordialement,
Photokor.