
Alors là, Sini,
tu as eu raison de ne pas utiliser ton flash, et c'est un grand amoureux de ce genre d'éclairage d'appoint (ou principal) en de nombreux cas qui te le dis… T'aurais vu effectivement un perroquet s'envoler de derrière l'autel et fondre sur toi pour t'arracher les yeux (t'as vu le bec ? impressionnant – et puis, fais attention, il paraît selon le même Jaco que les eaux de la Meuse sont froides en cette saison…

).

Non, de fait, à moins d'utiliser une dizaine de flashs bien placés dans les bons endroits (donc avoir l'autorisation du curé du coin), toute photo au flash en ces lieux très vastes et très sombres revient à une catastrophe du genre photo-de-mariage-flashée-dans-la-salle-où-qu'y-a-plein-de-monde : une horreur. Du genre très moche. Du genre à poubeller vite fait. Du genre à … (mon sens inné de la politesse m'oblige à m'auto-censurer

).
Tu aurais une solution qui consisterait à être sur pied (autorisation), en pause T, et à faire de l'open flash un peu partout mais bien dosé. Technique pas évidente du tout car il y aurait quand même de fort disgracieuses ombres portées, à moins d'être le pape de l'open-flash (sans jeu de mot : ça me vient naturellement

).
Nan-nan : continue comme ça et une autre fois, essaye diverses mesures de la luz, histoire de voir ce que ça donne : matricielle, pondérée et spot comme tu as fait, tout ça en rusant sur les zones analysées. Mais surtout, pas de quoi te prendre la tête : ce que tu as fait est fort regardable, et ça permet de délirer à peine un peu.

Amicalités dévouées
