[nikonette]

bonjour a tous

Je posséde un micro nikkor 55 1:2.8 sur lequel il y a des traces huileuses sur le diaphragme

pourriez vous me dire quelle solution a apporter merci

[Buzzz]

Ca demande un nettoyage... Pas évident à faire soi-même si on y connaît rien, car il faut démonter l'objectif ce qui n'est pas chose facile (enfin le remontage surtout ). Essaie peut-être chez un réparateur...

Buzzz

[Jean-Marie]

Bonsoir,
C'est effectivement un problème récurrent sur les 55mm f:2.8... Au milieu des années 80 j'ai eu ce problème et ai fait nettoyer l'optique par Nikon, un an ou deux plus tard, il a fallu recommencer. J'ai fini par craquer et m'en séparer, pour en racheter un autre d'occasion... qui ne m'a posé aucun problème depuis 20 ans.
Cela doit donc dépendre de la série.

[Jean-Lou]

Même problème, j'ai fait réparer le mien chez Photo Suffren au mois de juillet l'an dernier pour un peu moins de 100€ (Adresse pour Parisien).

[nikonette]

Bonsoir a tous

Merci pour vos conseils qui sont comme toujours d'une trés grande précision.

Je vais effectivement contacter suffren pour un nettoyage, l'objectif étant pour le reste en exellent état.

Je vous communique le n de serie au cas ou certains d'entre vous desireraient faire des recoupements

n°204855 A+

[pat28]

Bonjour,

J'ai aussi possédé un Nikkor qui avait des traces huileuses sur les lamelles du diaphragme. Tant que l'huile ne se dépose pas sur les surfaces internes des lentilles, quelle importance ?

@+

[nikonette]

bonjour

Je ne suis pas technicien photo mais il me semble que trop de graisse sur l'iris rend la réaction de retour du diaphragme un peut

molle les spécialistes pourront-ils nous préciser ce constat merci A+

[Jean-Marie]

Il y a deux types de mécanismes:
1. Celui où le boitier ne déclenche que si le diaphragme s'est fermé (exemple, de mémoire: l'Olympus Pen F) dans ce cas, le déclenchement peut être retardé, mais la pose est OK. Exemple vécu sur un 40mm f:1.4 dont le diaphragme est huilé également.
2. Le mécanisme Nikon où le boitier lâche l'ergot de l'objectif en laissant celui-ci se refermer à son rythme sous l'action d'un ressort interne à l'optique. Dans ce cas, l'appareil déclenche quelle que soit la position du diaphragme, ce qui m'avait conduit dans les années 80, à des surexpositions de plusieurs diaphs.
Le problème de la graisse sur l'iris des optique Nikon, c'est qu'on ne sait jamais à quel diaphragme la photo a été prise...