Bonjour Lgalmiche,
Un gd merci à vous pour avoir complété votre précédent message.
...en pratique, ça ne change pas grand chose… en utilisation réelle avec un vrai objectif de prix, poids et dimension réaliste, on aura quasi systématiquement de la diffraction qui limitera la qualité de l'image..
Lorsqu'on écrit sur un forum photo comme NP je pense qu'on s'adresse à un large public, pas exclusivement à des personnes qui comme vous ou bcp d'autres, possèdent de solides bases.
Pour le néophyte et/ou la personne pressée, cad dès que nos réponses écrites dépassent de 10 lignes; peut-être qu'on aurait intérêt, si on souhaite églt faire davantage partager notre passion, être plus accessible cad être plus synthétique, commencer ou finir par un abstract, un résumé.
In fine, par rapport à la question posée par Virindi77 : "Tailles de pixels, jusqu'où on pourra aller...?" sous-entendu sur le capteur d'un APN dans un but notamment d'accroître la capacité de recadrage et/ou d'agrandissement, on peut insister qu'une des limites physique, c'est le phénomène de diffraction de la lumière à travers un diaphragme, cad un trou circulaire.Dans les explications (bien développées dans votre dernière réponse) : que cette diffraction pour un point lumineux produit sur un capteur, non pas un point unique, mais deux = tâches d'Airy. D'où l'intérêt de prendre ou pas en compte la relation taille des pixels et résolution, piqué obtenu > à partir de quelle taille de pixel un capteur me donnera 2 points au lieu d'un seul ? - Et si j'obtiens bien sur mon capteur 2 points au lieu d'un seul visible, que faire ? (dans le sens, entre autre, que me proposent Nikon, les logiciels de ttt d'image..)
Le terme "qualité" utilisé dans la 1ère réponse devant être compris dans le sens restreint (et non global) > qualité en termes de résolution d'image obtenue pouvant être altérée par le phénomène de diffraction en deçà d'une certaine taille.
Bon, ça c'est ce que je crois avoir saisi.
Pour être pratique, notamment en macro mais églt pour d'autres thématiques, cela ne modifie pas ce que j'ai constaté : la maximum de piqué sur mon Z50, que ce soit avec mon Z 105 MC f/2.8 (mais f/4.5 à la distance mini de MAP), mon 300 PF f/4 ou mon 500 PF f/5.6, je pense l'obtenir pas très loin de la pleine ouverture. Ceci c'est un critère photo, mais pas le seul que je recherche. Comme je l'ai dit, en photo, surtout parfois en proxy-macro, j'ai besoin de + profondeur de champ qu'à PO. Sinon je n'obtiens pas ce que je souhaite, entre autre, une image "compréhensible" cad le + svt pas nette uniquement sur qqes mm mais davantage. D'où l'utilisation pour moi du mot "paradoxal" dans le sens, que cela me conduit à devoir faire des compromis entre à priori dégradation liée à la diffraction et obtention d'une zone de netteté qui corresponde à mes attentes. Qd je parle de dégradation, dans les faits de combien ? - Jusqu'à quelle valeur d'ouverture point est-elle rédhibitoire ?
A priori mes constatations avec le matériel que j'utilise et avec mon niveau d'exigence (je ne suis pas un pro = dans le sens mes exigences priment, pas celles du client pour le cas d'un pro) en plage d'ouverture je vais globalement de la PO jusqu'à f/14 selon le sujet et mes désidératas. Avec par défaut sur capteur APS-C en 20.9 Mpix, un faible pour f/5.6-f/8.
C'est juste un avis. Je peux avoir tord.
En tout cas, je trouve vos propos, à mon niveau de compréhension et d'interprétation, très enrichissants. +1 pour vous.
Bonne journée