Nikon Passion : Communauté Photo
Choisir votre matériel Photo => Objectifs pour Nikon => Discussion démarrée par: sebdeniro le 20 Juil, 2012, 07:04:26 am
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Bonjour
Je viens de regarder les Test de de JMS pour le D800 et je me pose plusieurs questions :hue: :hue:
Exemple sur le Sigma 50-500 ses tests sont bon alors que sur certains magazines ils sont mauvais ?
Exemple le Nikon 200-400 est pas terrible alors que les autres sont parfaits.
Je suis d’accord qu'il parle de niveau d’exigence maximal attribuée pour le format A1.
Pourquoi autant de différences pour un même boitier avec les même objectifs ?
Bizarre ;) ;) ;)
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Exemple sur le Sigma 50-500 ses tests sont bon alors que sur certains magazines ils sont mauvais ?
Exemple le Nikon 200-400 est pas terrible alors que les autres sont parfaits.
Amateur désintessé propose échange : je reprends votre Nikon 200-400 contre un Sigma 50-500, avec en prime le relevé des tests de JMS. ;)
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Que veux-tu faire d'un monstre pareil? Déjà que je trouve le 120-400 f/4.5-5.6 lourd et encombrant, que dire du 200-400 f/4?
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Bonjour
Je viens de regarder les Test de de JMS pour le D800 et je me pose plusieurs questions :hue: :hue:
Exemple sur le Sigma 50-500 ses tests sont bon alors que sur certains magazines ils sont mauvais ?
Exemple le Nikon 200-400 est pas terrible alors que les autres sont parfaits.
Je suis d’accord qu'il parle de niveau d’exigence maximal attribuée pour le format A1.
Pourquoi autant de différences pour un même boitier avec les même objectifs ?
Bizarre ;) ;) ;)
JMS teste les objectifs selon leur définition et de leur positionnement : le D700 est testé en A3, le D3 qui est pro en A2, et le D800 en A1. CI teste tout en A3... Après il y a aussi une dispersion de la qualité entre les exemplaires d'un même modèle : on peut tomber sur un objo correct, un exceptionnel ou un nanar.
Buzzz
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JMS teste les objectifs selon leur définition et de leur positionnement : le D700 est testé en A3, le D3 qui est pro en A2, et le D800 en A1. CI teste tout en A3... Après il y a aussi une dispersion de la qualité entre les exemplaires d'un même modèle : on peut tomber sur un objo correct, un exceptionnel ou un nanar.
Hummmm ! Tomber sur un "nanar" quand on parle de 200-400 Nikon, j'en ai pas, mais si ça m'arrivait, qu'il ait un problème, et que le SAV me dise que je suis tombé sur un "nanar"...autant te dire que je n'aurais aucun mal à élever le ton >:D
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C'est vrai que la dispersion de qualité existe...
...mais c'est curieux que pour le 14-24 f/2.8, personne ne soit jamais tombé sur un "nanar".
Moralité : un bon objectif est un objectif sans exemplaire "nanar".
;D
Sérieux : ce midi, on riait jaune en parlant d'un 18-135 DX, qualifié de "nanar" dans un test de JMS, et encensé sur un autre test qui le qualifie de "very sharp" (je n'ai pas retenu la référence du test, je peux la rechercher si ça intéresse quelqu'un).
Si on ne recherche que des objectifs qui font l'unanimité, ça va faire cher pour un choix limité !
;)
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C'est vrai que la dispersion de qualité existe...
Bien sûr que ça existe (dispersion des caractéristiques)
Ces tolérances de fabrication sont fixées par les fabricants qui se gardent bien de les communiquer.
La plage de dispersion est d'autant plus large qu'on descend dans la gamme"grand public".
Mais la gamme "pro" n'est pas épargnée, même si on y évolue plutôt entre le très bon est l'excellent. 8)
je cite à nouveau le Micro Nikkor 105Vr dont photozone a testé 2 exemplaires avec des résultats différents (l'un excellent et l'autre "encore meilleur") ;)
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Bonsoir,
J'ai recemment decouvert le site DxOmark qui semble avoir realise des tests sur un panel large d'objectif/boitier.
Il y a bien sur un probleme d'absence de methodologie commune, ce qui induit naturellement une divergence des resultats.
Sur base de votre experience que penser de DxOmark ? (ils semblent coherent puisque le plus cher est le meilleur :lol: ) ?
Thierry
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à vouloir comparer des culs de bouteilles avec de bonnes optiques, c'est normal que bourré, les résultats varient en fonction de leur résistance à l'alcool :lol: :lol: :lol: :lol:
Comme quoi il faut toujours faire sa propre synthèse, il ne faut pas toujours prendre à la lettre ce qu'il est écrit... :D
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Ces tolérances de fabrication sont fixées par les fabricants qui se gardent bien de les communiquer.
Nooon ??? Et en sortie de chaîne, Mr Nikon testerait TOUTES les optiques pour f... à la poubelle toutes celles qui sont hors tolérance ???
:hue:
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Ben dans l'industrie on met en oeuvre les moyens de production nécessaires pour se tenir à l'intérieur des tolérances.
C'est bien plus facile aujourd'hui qu'il y a 30 ans grâce à l'informatique et aux robots.
Il y a donc peu de contrôles (sur le matériel grand public)
Il y en a davantage sur la gamme pro, en plus d'un process de fabrication plus pointu, de là, entre autres, le prix.
A considéré le taux de retours rapporté sur les forums, il semble évident que les marques tierces procèdent autrement.
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Il y a donc peu de contrôles (sur le matériel grand public)
Il y a très très lgtps, j'avais entendu dire que Nikon faisait des contrôles statistiques en sortie de chaîne... ça voudrait dire que 1 obj produit sur "x" serait contrôlé. Ensuite, on pourrait imaginer que c'est peut-être un sur 100 sur la gamme pro, et un sur dix mille sur la gamme grd public ??? (je dis ça au hasard, je n'en ai aucune idée). Si c'était le cas, il y aurait la place pour passer pour un "nanar" !
Si quelqu'un était dans le secret du dieu japonais Nippon Kogaku et pouvait nous éclairer...
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La production Nikon est soumise aux mêmes contraintes que toute autre production en série.
La reproductibilité d'un processus étant toujours assortie d'une dispersion, les théoriciens ont réparti cette dispersion entre variations systémiques (dues aux variations de T°, usure des outils...) modélisables en fonction de paramètres mesurable, et variations aléatoires, modélisables par analyse statistique (généralement par une courbe de Gauss, dite "en cloche").
La conception d'un chaîne de montage relève du compromis entre coût de production (d'autant plus élevés que les tolérances sont serrées) et taux de déchet accepté (qui ont aussi un coût).
L'informatisation des chaînes de production permet actuellement de bien maîtriser les variations systémiques; leur évolution étant modélisée et donc supposée prévisible et connue, la vérification d'un pièce en sortie de chaîne peut être planifiée à l'approche des limites de tolérance.
La modélisation des variations aléatoires permet de dire, par exemple, que 99.99% des pièces seront dans les tolérances; ce qui implique que 1 pièce sur 10000 en moyenne pourrait être défectueuse (1/10000 "en moyenne" signifie que 3 pièces d'affilé peuvent être mauvaises et les 100000 suivantes être bonnes...). Malheureusement, aucune vérification statistique ne permettrait d'identifier les quelques pièces foireuses.
Seule une vérification systématique de toutes les pièces en sortie de chaîne permettrait de retirer les exemplaires défectueux. Ce n'est possible que pour des séries restreintes dont le prix de vente sera suffisant pour y répercuter le surcoût de ce contrôle en fin de production.
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C'est vrai que la dispersion de qualité existe...
...mais c'est curieux que pour le 14-24 f/2.8, personne ne soit jamais tombé sur un "nanar".
Moralité : un bon objectif est un objectif sans exemplaire "nanar".
Désolé, mais là on est dans la science fiction. Toutes les gammes sont touchées, et le 14-24 ne fait pas exception. Des 14-24 ou des 24-70 décentrés, ça existe. Idem pour les gros télés. Heureusement ça se répare. Et dans toutes les marques c'est pareil. Même les Leica M9 tombent parfois en panne, comme les BMW, Mercedes, Ferrari... Croire le contraire c'est se bercer d'illusions.
Buzzz
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Plutôt que de remettre en cause les processus industriels des fabricants, peut-être faudrait-il s'intéresser aux processus des testeurs.
Personnellement les murs de briques pour qualifier un objectif, je trouve que ça a ses limites. Les fonctions de transfert (enfin, on pense que ce sont des fonctions de transfert ??) des grilles de magazines, sans échelle d'ailleurs (un de ces experts journalistes m'ayant dit un jour "c'est normal, personne ne comprend ces courbes de toute façon), c'est guère mieux. Même les tests terrain comme ceux de NP sont subjectifs, alors ma foi, le mieux n'est-il pas de faire des photos et d'oublier un peu tout ça ??
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Désolé, mais là on est dans la science fiction. Toutes les gammes sont touchées, et le 14-24 ne fait pas exception.
Il y a méprise sur mon propos : je voulais dire "pour le 14-24 f2.8, tous les tests sont unanimes : excellent" (le reste n'était que plaisanterie).
Mais il est vrai que pour cet excellent objectif, il pourrait y avoir une "irrégularité" de fabrication qui ferait qu'un exemplaire serait moins bon. Il faut croire qu'aucun testeur n'est tombé dessus !
J'essaye de lire un maximum de tests qui se publient sur les optiques dans les revues ou sur le web, en anglais ou en allemand... Dans le dernier Amateur Photographer (21 juillet), il y a un test sur 6 zooms 24-70 f2.8 et le moins bon est... le Nikon (il est cependant très bon, les autres étant encore meilleurs).
En revanche pour le 14-24 f2.8, je n'ai jamais lu un test (comparatif ou non) dont la conclusion ne soit pas : "excellent - premier de la classe".
Et ça, c'est pas de la science-fiction !
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Pour déborder un peu de ce post, et tomber dans la subjectivité la plus complète, Chasseur d'Images vient de démolir allègrement le D3200 (visée, ...). Il se trouve que le 3200 fait justement la "une" de plusieurs revues anglo-saxonnes qui l'encensent ! (Popular Photography Aug-2012, Photography Monthly Aug-2012)
Je me marre...
De même... Je pense qu'on connait tous les résultats des tests DXO du D800/D800E ("meilleur capteur reflex jamais analysé par DxO") qui, comparés à ceux du 5DMarkIII, font également bien marrer. Je viens de f..... à la poubelle une revue anglo-saxonne qui comparait D800/5DMarkIII. Sur CHAQUE critère, le 5D avait "la note du D800"+1 (Digital Photographer n°124)...
Le titre de ce post "Pourquoi autant de différences sur les tests des objectifs ?"
(réponse = aucun objectif n'est identique à son semblable sorti de chaîne)
pourrait être "A quels tests peut-on faire confiance ?"
Alors c'est vrai, le meilleur objectif est celui qui permet de faire "la" photo qui contient de l'émotion, au diable les testeurs et les MTF50...
:)
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Perso je ne me pose pas ce genre de question sans réponse....................
J'achète une optique, je fais des images avec, si ça ne me plait pas, je revend ou si ça me plait je garde....................
Oui, aussi !!! Mais on y perd un peu des plumes à chaque revente ;D
Ceci dit c'est le fond des choses : on ne connait pas une optique tant qu'on ne l'a pas essayée...
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C'est vrai que le meilleur test est celui du terrain!
Mais quand même, avant d'acheter un objectif, j'essaie de me renseigner sur ce qui m'attend niveau performances.
C'est quand même mieux de savoir si la focale que l'on convoite n'est pas un cul de bouteille, non?
Ma méthode:
# les forums;
# les tests techniques;
# les tests subjectifs tels que les font certains pros. (je pense à Bjorn Roslett, photographe de nature norvégien)
Entre ces trois moyens, on se fait une opinion juste.
Je précise que mon choix repose d'abord sur la réputation. On voit des images qui plaisent, on cherche ensuite à savoir avec quelle optique
elles ont été prises et la suite est évidente: on se renseigne, on se documente, on demande des avis...
Donc, pour répondre à la question du fil, oui il y a des différences entre les tests, mais si on fait une moyenne des résultats de plusieurs tests,
il est aisé de constater que les différences se réduisent...
J'ajoute que je fais peu confiance au tests des journalistes des magazines photo.
Bonne nuit, FD.
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Je dois reconnaître que je ne suis tombé sur aucune "mauvaise" optique jusque là, la moins bonne étant le 18-200 que je conserve cependant car il a d'autres qualités.
...A moins que mon niveau d'exigence soit assez bas pour que tous me paraissent bon?